Merci à notre ami Benoît Biteau, député Ecologiste de Charente Maritime pour son engagement contre le démantèlement silencieux, mais dramatique, de notre démocratie environnementale. Sous couvert de « simplification », le gouvernement – avec l’appui de la droite et de l’extrême droite – veut supprimer près de 200 instances publiques essentielles : agences sanitaires, comités citoyens, institutions environnementales, outils de veille sociale…
Ne l’oublions pas lors des prochaines échéances électorales !
- Ce n’est pas une réforme, c’est une liquidation. Une attaque directe contre :
- notre droit à une information indépendante sur les risques sanitaires (ANSES),
- la planification de notre transition écologique (Haut Conseil pour le Climat),
- la gestion publique de l’énergie et des déchets (ADEME),
- la protection de la biodiversité (Office français de la biodiversité),
- le débat citoyen sur les grands projets (CNDP),
- la participation citoyenne en région (CESER),
- la gestion durable de l’eau (comités de bassin).
Grâce à la mobilisation du groupe Ecologiste et Social et des partenaires, plusieurs de ces instances ont pu être préservées. Mais le plus dur reste à venir : plus de 1 000 amendements sont encore à l’étude à l’Assemblée nationale. Et parmi eux se cachent de nouveaux reculs environnementaux et sociaux majeurs.
𝗖𝗲 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗻𝗼𝘀 𝗼𝘂𝘁𝗶𝗹𝘀 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗴𝗶𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲, 𝗻𝗼𝘀 𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁𝘀 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳𝘀, 𝗻𝗼𝘀 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲𝘀, 𝗲𝘁 𝗹’𝗮𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘀 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗾𝘂’𝗼𝗻 𝘃𝗲𝘂𝘁 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲.