Aline Archimbaud, Sénatrice écologiste de Seine-Saint-Denis, souhaite que le scandale des triches sur les contrôles antipollution organisées par Volkswagen serve de prise de conscience au problème plus vaste de la mesure des émissions de particules polluantes par les constructeurs automobiles.
Aline Archimbaud est en effet l’auteure d’une proposition de loi relative à la nocivité du diesel, examinée au Sénat à l’automne dernier, et qui soulevait notamment ce problème du déficit de connaissances et d’expertises indépendantes en matière de pollution de l’air due à la circulation automobile.
Les travaux préparatoires de la Sénatrice lui avaient confirmé que la définition des normes et des méthodes de mesure peut aussi bien concourir à révéler la pollution qu’à la dissimuler.
Ces normes et ces méthodes sont ainsi sujettes à de nombreuses incertitudes, puisque les cycles de conduite qui servent de référence aux tests d’émissions polluantes ne sont par exemple pas représentatifs des conditions réelles de circulation, que les particules fines reformées quelques mètres derrière le véhicule ne sont pas prises en compte par les tests, et que la discrimination entre les différentes tailles de particules fines est sujette à caution, puisque les plus fines sont les plus dangereuses.
Or, la seule expertise technique aujourd’hui disponible sur le sujet est celle du lobby industriel. Sur le site de l’union technique de l’automobile et du cycle (UTAC), qui se définit comme « le partenaire privilégié des industriels tournés vers la compétitivité » que sont ses clients, on peut par exemple lire que cette entreprise, une des rares références techniques en la matière, participe par ailleurs activement à l’élaboration et à l’évolution des réglementations nationales et internationales applicables aux véhicules en matière d’émissions polluantes.
Aujourd’hui, face à ce scandale sanitaire qui sacrifie chaque année des dizaines de milliers de vies et des milliards d’euros, aucune recherche indépendante n’est mise en œuvre. Personne n’est chargé de défendre l’intérêt général, la santé de nos concitoyens et nos finances publiques.
C’est la raison pour laquelle Aline Archimbaud a redéposé sur la loi de santé examinée en ce moment au Sénat un amendement demandant la mise en place d’une expertise technique indépendante relative à la mesure des émissions de polluants par les véhicules automobiles.
Elle se félicite du fait que Ségolène Royal ait annoncé ce matin une enquête approfondie sur les méthodes de Volkswagen en France, mais ne souhaite pas que ce scandale occulte le fait que le problème de la mesure des polluants automobile concerne tous les constructeurs.
Communiqué de presse
Aline Archimbaud
Sénatrice de Seine-Saint-Denis
Une réflexion au sujet de “Scandale Volkswagen : La partie immergée de l’iceberg “diesel””
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Bonjour,
Il y avait des trucs visibles dont on se doute sérieusement qu’ils nous blousent forcément, du genre (juste pour un seul exemple) mosanto. Mais là, quand meme, Volkswagen, comment imaginer que l’infamie du genre humain puisse être aussi perfide et ravageuse ?
Quand j’étais jeune (il y a 50 ans), j’apprenais les guerres de religions, sur les bancs de l’école.
Je me disais, wouhao, c’était horrible ces temps là, avec le secret bonheur d’appartenir à une merveille :
Le monde moderne, intelligent, aimant, définitivement tourné vers le bien-etre de l’humanité…
Mon Dieu, comment ai je pu penser cela ?
Non, seulement, les scandales ne s’arrêterons pas à Volks « vague » mais demain (ou après demain : pas tous les jours tout meme. Mais, suis je aussi naïf qu’à l’age de 13 ans ? Je me le demande !), il y aura le suivant et qui ne sera pas le dernier…
Et pire, mon petit bonhomme de 13 ans, car tu avais cet age là, devine ?
Oui, ben quoi ?
Et bien, l’humanité est en passe de connaitre la prochaine guerre mondiale, peut-être plus meurtrière que la seconde guerre mondiale (je ne plaisante pas mon petit bonhomme). Mais, ce sera la der de der (…pouf, tu rigoles ou quoi ?). Et, c’est une guerre de religion…
La religion, celle qui relie les âmes, celle qui promet le bonheur absolu, celle qui est tellement tentante dans un monde où les questions du bonheur sont éludées aux profits capitalistes porteurs d’injustice et de haine. Cette religion qui permet de rester ignorant, tout en se croyant investi d’une mission divine (ah, que çà fait du bien), cette religion (quelle qu’elle soit) détourne l’homme de sa propre spiritualité comme les sex-shops et la pornographie, le détournent de sa propre sexualité épanouie.
La religion le détourne, tout simplement, de sa recherche personnelle du bonheur !
La recherche de bonheur (qui prend bien des formes) serait donc la force psychique la plus dangereuse dont l’humanité risque d’en faire les frais, peut-être un jour !
Le bonheur est probablement, tout le sens de l’univers créé. Mais pour y arriver, l’univers danse sur le fils du rasoir.
Et oui, les livres d’histoires t’ont fait rêver, petit bonhomme, et ont soulevés, en toi, l’espoir d’une vie en conscience mais malheureusement, ce qu’ils ne disaient pas, c’est que l’histoire s’écrit au présent.
En conjugaison, il y a le futur simple, le futur proche et le futur antérieur, mais il manque un temps : le futur incertain.
Nous l’écrirons donc au présent :
Et nul ne sait ce qui est écrit !!!