URGENTISSIME : enquête publique Altéo jusqu’au 7 juin 2019
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Suite à la plainte d’associations citoyennes, le  jugement du Tribunal administratif de Marseille de juillet 2018, confirmé en cour d’appel, a obligé la Préfecture à lancer une enquête publique sur les dangers et inconvénients de l’usine Alteo et son stockage à Mange-Garri.

Voici l’adresse mail pour participer : pref-ep-alteoetudedimpact@bouches-du-rhone.gouv.fr

Nous avez jusqu’au 7 JUIN inclus pour dire votre opposition au stockage des boues rouges en mettant en copie, si vous le souhaitez, l’association bouc.environnement@gmail.com qui vérifiera que votre avis a bien été pris en compte et d’exiger une réponse pour chacun.  Nota : le vice président de l’association avec qui j’ai conversé hier suite à une demande de prise de contact sur le site Eelv Paca l’association a fait parvenir 600 réponses à l’enquête publique.

Voici le courrier type de réponse que nous propose l’Association BBA Environnement., « N’hésitez pas à l’adapter, si vous le souhaitez, et joindre d’éventuelles photos de nuisances constatées.

Voici en pièces jointes :
1- une proposition de réponse version mail,
2- une proposition de réponse à compléter pour répondre par voie postale,
3- une liste de questions plus précises dans laquelle nous souhaiterions que chacun pioche a minima une question de son choix pour compléter le courrier initial et ainsi obliger les destinataires à répondre à des questions précises pour lesquelles aujourd’hui nous n’avons pas réussi à obtenir de vraies réponses de la part des autorités. »

Je rajoute l’avis d’enquête de FNE 13

Informations complémentaires au tableau

1°.-la pollution des nappes phréatiques. Une instruction est en cours suite à la plainte en Préfecture de Jean-Claude Monet, un gardannais que j’ai rencontré la semaine dernière, membre de BBA Environnement et un de leur conseiller technique

2°- La vétusté d’une usine qui date de 1912 avec des incidents récurrents plusieurs fois par trimestre : rejets de soude pure ou dilué, blessures au visages et aux yeux par la soude.

3°- l’absence d’étude épidémiologique tant sur Gardanne que sur Bouc Bel Air malgré de nombreuses demandes. Les citoyens demandent que soient mise en place une étude Epseal comme à Fos sur Mer. Notamment la reconnaissance des maladies professionnelles liées à l’amiante. L’usine Arkema ex-Péchinez de Saint Auban a eu cette reconnaissance alors que Gardanne non parce que non demandée par les syndicats.

Il s’agit d’exiger une réelle évaluation des risques sanitaires et environnementaux.

Brigitte Apothéloz : brigitte.apotheloz@gmail.com

Documents à votre disposition en téléchargement : 

FNE Avis enquête publique impacts cumulés_V3

Liste de propositions de questions complémentaires pour l’enquête

Proposition de réponse à l’enquête publique version courrier

Proposition de réponse à l’enquête publique version mail